Grégory a sauté le pas. Juste avant le Covid, il a tout quitté pour monter sa carrosserie.
Grégory a tout plaqué pour ouvrir son garage et il ne regrette rien.
Tu connais ce moment où tu te demandes si tu as fait le bon choix ?
Moi, je l’ai connu juste avant de tout plaquer… et de monter mon garage.
Bonjour, moi c’est Grégorie, j’ai 39 ans (encore pour quelques semaines).
Je suis originaire du sud de la France, mais je me suis installé en Dordogne il y a une vingtaine d’années.
Côté parcours, j’ai suivi un cursus classique dans le domaine : CAP, BEP, puis Bac professionnel en carrosserie, option réparation.
Avant d’arriver en Dordogne, j’ai travaillé dans une des plus grandes carrosseries de France, dans le sud. Puis j’ai rejoint une société de transport en Dordogne.
J’y ai commencé comme simple carrossier, puis j’ai gravi les échelons jusqu’à devenir chef d’atelier.
Mais à un moment, j’ai senti que le bocal était devenu trop petit pour moi. J’ai eu envie de voler de mes propres ailes.
C’est comme ça que j’ai décidé de monter mon propre garage.
Je me suis lancé en 2019, juste avant la crise Covid… Tant qu’à faire, autant y aller à fond dans la difficulté !
Et aujourd’hui, tout va bien : mon équipe se porte bien, le garage progresse chaque jour, et l’activité ne cesse de croître.
Tellement, d’ailleurs, que je suis en plein agrandissement : le parking, les murs, le plafond… Je pousse les murs !
Et surtout, je cherche du renfort : des bras, des personnes motivées pour rejoindre l’aventure.
Ce que j’aime dans la carrosserie ?
C’est un métier hyper technique, qui demande beaucoup de compétences.
C’est aussi un métier complet, autant sur le plan humain, professionnel que technique.
Ce que j’adore, c’est que c’est un domaine en perpétuelle évolution. On ne s’ennuie jamais, on apprend tout le temps.
Aujourd’hui, j’ai une belle équipe, mais je veux la compléter.
Pour ça, j’ai besoin de nouvelles recrues, de jeunes à former, de gens passionnés.
La carrosserie, c’est un vrai beau métier. Je ne ferais rien d’autre au monde.Et maintenant, j’ai envie de transmettre.
Transmettre à des personnes qui, j’espère, aimeront ce métier autant que moi.
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